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D’UN POINT A L’AUTRE, JE VAIS

TABLES RONDES

« Aujourd’hui apparait une notion de citoyen du monde, qui est prêt à partir à l’étranger pour s’enrichir humainement. Les artistes ressentent ce même besoin, afin de pouvoir évoluer artistiquement en s’imprégnant de culture différente. Le voyage permet de faire un travail sur soi -même pour s’ouvrir et il est aussi un accélérateur pour leurs créations.

Au cour de l’histoire de l’art on retrouve cette idée de curiosité de l’ailleurs. Cela à commencer avec les peintres des XIXème siècles qui ont sortie leurs chevalets de leurs ateliers pour aller vers cette ailleurs qui est une source d’inspiration de renouveau. Si l’histoire de l’art à toujours pu se renouveler c’est par cette hybridation des cultures et ce besoin qu’on les artistes de découvrir ce qui se passe à d’autre endroit.

L’artiste peut migrer également pour des raisons économiques, attiré par des marchés de l’art plus attractifs. Mais la notion essentielle de leurs migrations est cette recherche d’énergie stimulée par ce qui est étranger, ce qui les poussent à franchir leurs propres limites. »