.
.
.
17h00 – Village du Grand Parc
30 min – à partir de 7 ans
>>>> Théâtre
.
Tableaux évocateurs de la Guerre de 14-18, premier acte de barbarie à l’échelle de la planète. Lettres de soldats aux vivants, mémoires d’hommes, mémoires d’espoir.
.
Paroles de Poilu(e)s n’a pas été pensé uniquement d’un point de vue historique. Ce spectacle fait l’objet d’une démarche artistique et humaniste. La volonté de la compagnie du Sûr Saut est de faire entendre ces cris de douleurs : ceux des hommes et des femmes, qui ont souffert de la folie meurtrière et de la violence de la Première Guerre Mondiale ; ceux qui se sont prêtés aux jeux des armes et du combat, sans imaginer les conséquences de leurs actes.
.
Le Maître du Jeu, tout au long de la représentation, guidera les spectateurs à travers différents tableaux significatifs de la Première Guerre Mondiale : l’avant-guerre, l’ordre de mobilisation générale, le départ au front, la guerre et les correspondances des soldats avec leur famille, la fin de la guerre
Des poèmes, une libération, un exutoire, une ultime parole, qui devraient inciter les générations futures au devoir de mémoire, au devoir de vigilance, comme au devoir d’humanité.
Adaptation théâtrale des lettres et carnets du front 1914-1918
.
Mise en scène : Morgane Tamboers Avec : Rémi Babin, Justine Cormary, Marie David, Céline Pires, Paul Marquehosse, Anthony Tricard et Morgane Tamboers Technique : Maxime Berland ..
.
.
.
.
17h30 – Du Village de GPF au Village Mably
Tout Public
>>>> Accueil et parcours en musique
.
Le rendez-vous est donné à 17h30 au village de GPF au Grand Parc pour une arrivée au village Mably ! Déambulation en tram, vélos et autres moyens de transport ! Marionnettes, musique, mégaphone, tchatche à l’arrivée.
Le Village Mably : un lieu de rencontres et d’échanges, avec stands associatifs et restauration pour ce prologue de Grand Parc en Fête.
.
.
.
..
.
.
.
.
19h00 – Cour Mably / Centre-Ville de Bordeaux
40 min – à partir de 6 ans
>>>> Théâtre, musique et danse
.
Spectacle unique et troublant, fait d’images, de sons et rituels, venus du grand sud de l’Afrique. Thump nous entraîne à suivre Médéa et Simion, deux personnages âgés, surgis d’un autre monde en quête de sens. Saisissant d’émotion.
.
Un couple recherche l’endroit où leur vie a basculé… Médéa et Simion, deux personnages âgés surgis d’un autre monde, viennent rendre un dernier hommage à l’être aimé.
Une mort. Un coupable. Un sacrifice.
.
Reconstruisez le puzzle de l’intrigue au travers de ces deux personnages. Ecoutez ces créatures énigmatiques, les Ancêtres, réunis sous la forme d’un choeur, qui chantent, dansent, pleurent, pour finalement se rire des tragédies humaines.
Invité à reconstruire l’histoire au fur et à mesure d’indices distillés par le biais d’objets et de la musique, le public devient acteur sur certains temps de la pièce. Les masques, mi-animaux mi-humains, apportent la tristesse et la folie. Cependant des nuances apparaissent dans le jeu et le spectateur sourit. Le comique croise le tragique…
.
Présentée dans le cadre des « Saisons Croisées France – Afrique du Sud 2012 / 2013 »
Fleurs de Silence est un projet passerelle entre artistes issus de diverses disciplines artistiques et de différents pays. Musiciens, chanteurs et danseurs sud-africains (Mutariko Art and Culture Project) et comédiens français (Cie Théâtre Thump !) sont ainsi réunis dans une forme de théâtre populaire. Puisées dans le répertoire des chants traditionnels sud-africains, les chansons sont interprétées par le choeur en français, anglais, le shangaan et le zulu et accompagnées aux marimbas, cornes de kudu, violon, calabaches, percussions.
.
Metteur en scène : Tom Roos
Comédiens: Oliver Borowski et Carole Deborde
Ensemble musical et vocal : Godfrey Nyika Dupwa, George Bonginkosi Mhlongo, Thamsanoa Sifiso Hlatshwayo, Nokhutula Pertunia Maphanga, Magaret Ntokozo Phiri, Stembile Albert Malope, Rynold T Mbatsane
Chorégraphes : Norbert Sénou et Caroline Fabre (Cie Fabre-Sénou)
Costumes : Els Magherman / Masques : Judith Mälher
.
.
.
.
.
.
.
.
20h30 – Cour Mably / Centre-Ville de Bordeaux
.
.
.
.
.
.
.
21h00 – Cour Mably / Centre-Ville de Bordeaux
60 min – Tout Public
>>>> Théâtre burlesque
.
Spectacle décalé, décapant, décoiffant. A deux pas de l’Opéra, le Teatro Necesario nous embarque dans une folle et fausse parodie du « Barbier » de Rossini. Trois comédiens endiablés, démantibulés, ébouriffants, époustouflants de talents et d’imagination, tout en swing, et italien dans le texte et le chant transforment la cour Mably en salon de coiffure désopilant et déglingué.
.
Dans les rares salons de barbier de province, ils restent aujourd’hui des miroirs rectangulaires noircis par le temps, des vieilles chaises grinçantes, des outils rouillés. Mais seulement il y a un demi-siècle ces salons étaient le lieu de rencontre préféré des gens importants. Un endroit discret où on pouvait discuter librement de ses affaires et de ses idées. Et il y avait également la musique, le café et les anecdotes saugrenues du barbier de confiance. C’était en quelques mots, le lieu névralgique du village.
.
L’idée portante du spectacle : recréer l’atmosphère de ces temps, pas très lointains, où le barbier chantait, jouait d’un instrument, servait à boire, conseillait …en un seul mot, il entretenait ses hôtes. Et naturellement, il rasait et coupait les cheveux. Dans le jeu, la scène correspond au salon de barbier, qui est animé par trois aspirants barbiers, et le parterre est une grande salle d’attente. Le public se trouvant tout autour en définit les limites en termes d’espace et devient partie intégrante de la même salle, c’est-à-dire du spectacle.
.
Le spectacle joue autour du temps de l’Attente. L’attente du client de la part des barbiers qui passent le temps en se risquant dans de singulières démonstrations d’habilité. L’attente de la part du spectateur, lequel, tout compte fait ne peut que « craindre le pire ». Une attente qui dissimule une plus profonde crise d’identité, puisque « être barbiers » signifie « avoir un client », exactement comme « être acteurs » signifie « avoir un public ».
.
De : Mario Gumina et Teatro Necessario Avec : Leonardo Adorni, Jacopo Maria Bianchini, Alessandro Mori Mise en scène : Mario Gumina
.
.